Le tabac est aujourd’hui, nous le savons, un produit dont il faut bien maîtriser l’utilisation pour éviter la dépendance et les conséquences néfastes sur la santé. Depuis de nombreuses années maintenant, plusieurs actions sont mises en place pour en limiter la consommation au sein des populations. Les états notamment ont déployé des modèles de taxation et une politique de santé publique visant à réduire l’usage de ce produit. Par ailleurs, sur le marché même des produits à fumer, des produits ont été créés et présentent différents fonctionnements. Nous allons aborder dans cet article, les alternatives existantes à la consommation de tabac et de cigarettes, au sens large.  

Quelles voies explorer lorsqu’on cherche à réduire sa consommation de tabac ?

Parce qu’on les voit beaucoup à présent dans l’espace public et qu’il est difficile de ne pas voir la fumée qui s’en dégage, évoquons d’abord les systèmes de cigarettes électroniques ou e-cigarettes. Ce phénomène aujourd’hui largement répandu se présente comme une solution moins nocive que sa version classique. De nombreux sites comme www.arsenevalentin.com proposent différents modèles et composants permettant de personnaliser son expérience : taille du dispositif électronique, arôme du liquide qui sera utilisé pour apporter le goût, type de batterie, etc.

Quoi qu’il en soit, c’est une voie alternative à une consommation standard de tabac qui peut s’inscrire dans une nouvelle orientation de sa consommation habituelle.

Les méthodes douces : les activités qui peuvent encourager à changer ses habitudes en matière de consommation

En parallèle de dispositifs approchant, au moins pour la gestuelle, l’utilisation de cigarettes, plusieurs outils peuvent être mobilisés pour faire évoluer de manière progressive ses habitudes de consommation impliquant le tabac. 

La première de ces méthodes qui peut avoir comme objectif de détourner le consommateur de tabac de sa pratique habituelle est la méditation. Avantageuse, car elle ne requiert aucun prérequis, cette pratique nécessite en revanche du temps et de la concentration. Sans cela, impossible de mettre en place un changement, une évolution positive dans sa manière d’aborder son addiction à la cigarette. Dans le prolongement de la méditation, on trouvera la pleine conscience. Cette pratique de concentration, de mobilisation du mental permet, elle aussi, de mobiliser ses énergies pour trouver de nouveaux points de rupture dans ses habitudes. 

D’autres solutions à placer dans le halo de la méditation, mais nécessitant une pratique plus importante encore que la méditation :  le yoga. Parce que tendre vers de nouvelles façons d’appréhender son mode de vie implique aussi de rétablir un lien ténu entre corps et esprit, le yoga est une méthode candidate sérieuse à tous ceux qui trouveront la motivation suffisante. Il faut être déjà bien engagé sur la voie du changement, au moins par une volonté affirmée et exprimée, pour s’atteler à la pratique du yoga. Ouverture et connaissance du corps, rassemblement des énergies mentales et focalisation sur soi et ses aspirations, le yoga est une voie à explorer pour ceux qui s’y sentent prêts.

Si les méthodes sont différentes, elles s’inscrivent toutes dans un processus visant à s’extirper d’une addiction néfaste. En cela, elles sont toutes à considérer et à envisager pour faire évoluer ses usages.

 

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